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[1] vpm = volume par million, équivalent à la notation 10-6 volumique ; les vpm correspondent à des fractions molaires.
[2] Qui obéit à l’équation proposée en 1913 par Leonor Michaelis et Maud Menten, équation qui décrit la cinétique d’une réaction enzymatique simple où intervient un substrat unique. La cinétique d’un processus michaélien dépend de la concentration C du substrat et est caractérisée par les deux paramètres Km et Vmax
[3] N.B. avec le système de notation adopté ici, les résistances à la diffusion devraient s’exprimer en m2 mol-1 s, ce qui n’est pas la notation habituelle.
[4] Cette concentration est souvent assimilée au « point de compensation » G pour le CO2, qui est la concentration en CO2 dans l’atmosphère libre pour laquelle la photosynthèse et la respiration s’équilibrent, en condition d’éclairement optimal. Pour les plantes de type C3 — c’est à dire la majorité des plantes originaires de la zone tempérée —, G est de l’ordre de 50 vpm alors que pour les C4 — graminées adaptées à des climats chauds pour la plupart (canne à sucre, maïs, …) —, il est très proche de 0.